
Archives de catégorie : Culture
1 Jour – Remerciements
1 Jour – La fete de la musique
C’est du rock, c’est du punk, cela déchire
parole Philippe Laguerre
musique – chant : IA
🎸 « Rock de l’Étang d’Artax » 🎤
(Paroles philippe Laguerre)
[Couplet 1]
Y’a un coin perdu dans les monts ariégeois,
Où l’eau dort sous la brume, sans faire de choix.
À Gourbit, le vent chante des secrets anciens,
Et l’étang d’Artax te prend par la main.
[Pré-refrain]
Sous les sapins, les éclairs grondent,
Le ciel s’enflamme et le silence fond…
T’entends les pierres qui crient ton nom,
Bienvenue dans le maelstrom !
[Refrain]
Hey ! On hurle à l’étang d’Artax,
Les guitares pleurent et la foudre claque !
Dans la boue, on tape du pied,
Rock sauvage, prêt à exploser !
Oh yeah, l’esprit des montagnes s’embrase,
C’est le feu d’Artax qui dévaste !
[Couplet 2]
La mousse accroche les bottes du marcheur,
Mais on monte, malgré le vent, malgré la peur.
Là-haut, le diable joue du banjo,
Et les grenouilles font l’écho !
[Pré-refrain]
Le cœur bat comme une batterie,
Chaque souffle est une mélodie.
Les corbeaux tournent dans le ciel noir,
Mais on s’arrête pas, on veut tout voir !
[Refrain]
Hey ! On hurle à l’étang d’Artax,
Les guitares pleurent et la foudre claque !
Dans la boue, on tape du pied,
Rock sauvage, prêt à exploser !
Oh yeah, l’esprit des montagnes s’embrase,
C’est le feu d’Artax qui dévaste !
[Pont]
Solo d’éclairs dans la nuit,
Les arbres dansent, pris de folie.
Un loup crie la vérité :
Ici, c’est l’âme qui va rocker !
[Refrain final]
Hey ! On hurle à l’étang d’Artax,
Les étoiles s’éteignent, le temps s’embarque !
Tout explose dans un cri sacré,
Rock d’Ariège, jamais dompté !
Oh yeah, l’étang te regarde et il t’enlace…
Bienvenue à l’Artax, face à face !
1 Jour – Usage des drones en Ariège
Vous êtes un particulier
L’utilisation d’un drone dans l’espace public en agglomération, y compris pour des activités de loisirs ou non commerciales, est interdite aux personnes qui ne sont pas titulaires des qualifications professionnelles minimales (certificat d’aptitude théorique aéronautique ou Déclaration de Niveau de Compétence) et n’ayant pas procédé dans les 24 mois à une déclaration d’activité auprès de la Direction de la Sécurité de l’Aviation Civile.
En outre, l’utilisation des drones de plus de 800 g est subordonnée au suivi d’une formation spécifique.
Hors agglomération, je vous invite à consulter l’arrêté préfectoral portant réglementation de survol d’aéronefs sans pilotes en espaces naturels sur le département de l’Ariège qui restreint le survol à titre récréatif ou de loisir dans ces espaces.
Télécharger AP_Drones_17062025 PDF – 2,24 Mb – 17/06/2025
Enfin, des zones sont, dans tous les cas, interdites aux survols par drone, quels qu’en soient les motifs ou les modalités. Vous pouvez retrouver ces listes sur l’outil Géoportail, en appliquant le fond de carte « drones de loisir ». https://www.geoportail.gouv.fr/donnees/restrictions-uas-categorie-ouverte-et-aeromodelisme (aérodromes, zones sensibles, agglomérations)
En outre, des zones sont interdites par arrêté ministériel, régulièrement renouvelés.
Pour tout autre usage, il vous appartient de respecter les règles de bases figurant dans la notice de l’appareil.
- Vous êtes un professionnel
L’arrêté « Espace » du 3 décembre 2020 relatif à l’utilisation de l’espace aérien par les aéronefs qui circulent sans personne à bord vous impose de procéder à une déclaration en préfecture dans le cadre des scénarios S3 (activités particulières ou expérimentation), au plus tard 5 jours ouvrables avant la mission (le jour de déclaration, le jour de la mission, les dimanches et jours fériés ne sont pas pris en compte dans le calcul, avec un préavis maximal d’un mois).
Votre déclaration est à adresser via le portail de la DGAC « Alpha Tango » – https://alphatango.aviation-civile.gouv.fr/login.jsp en précisant le donneur d’ordre et l’objet de la mission dans le champ « observations » du formulaire.
En complément de cette déclaration préalable, je vous invite à consulter l’arrêté préfectoral portant réglementation de survol d’aéronefs sans pilotes en espaces naturels sur le département de l’Ariège
Télécharger AP_Drones_17062025 PDF – 2,24 Mb – 17/06/2025
et d’effectuer la demande d’autorisation dérogatoire suivante si vous êtes concerné par un survol dans ces espaces. Télécharger demande_autorisation PDF – 0,12 Mb – 15/06/2025
La plateforme est à privilégier pour permettre un traitement facilité de votre déclaration. L’accusé de réception sera adressé automatiquement par le portail, et, sauf nécessité de complément ou incompatibilité de votre mission avec certaines mesures restrictives, aucun échange supplémentaire n’interviendra avec les services de la préfecture.
Il demeure néanmoins possible, en cas de nécessité particulière, d’adresser votre CERFA n°15476*03 (modèle ci-dessous) accompagné de l’accusé de réception de la DGAC datant de moins de 24 mois à pref-drones@ariege.gouv.fr
Si la mission concerne un rassemblement de personnes (manifestations sportives, culturelles…), vous joindrez les mesures de sécurité prévues pour la protection des tiers (plan, détails).
Pour rappel, le vol de nuit est interdit sans autorisation préfectorale spécifique. Dans cette éventualité, les demandes sont à adresser au plus tard 1 mois avant la mission, à l’adresse fonctionnelle : pref-drones@ariege.gouv.fr
La demande d’autorisation ne signifie pas que les vols décrits sont réglementairement possibles : la zone de vol déclarée peut être interdite aux aéronefs télé pilotés ou d’autres démarches peuvent être nécessaires (vols de nuit hors espace aérien ségrégué, vols à proximité d’un aérodrome ou dans un espace aérien contrôlé ou réglementé).
1 Jour – Le Blues de Gourbit
1 Jour – Gourbit’Arts
Le but de cette association est de promouvoir la culture, le sport, le divertissement et le loisir dans le canton de Gourbit et ses environs. Son ambition est de faire vivre le village en organisant diverses manifestations, à l’extérieur ou à la salle des fêtes durant toute l’année. Pour cela elle espére fédérer les nombreux talents de Gourbit. L’association pourra leurs apporter son aide, ses compétences et être le lien avec la municipalité.
Le bureau de l’association se compose de :
Une présidente : Sylvie Rivière Un Trésorier : Philippe Laguerre deux secrétaires : Tiffany Rivière & Jean-Jacques Roujas
En 2024 L’association a organisé diverses manifestations dans le village. l’exposition des artistes de Gourbit pendant la fête, le Yoga pendant les deux mois d’été grace à Véronique.
En 2025 l’asociation va continuer , en intégrant de nouvelles manifestations comme le vide-grenier (organisé ce week-end) ou un marché de Noël, voir d’autres manifestations autour de la salle des fêtes.
Pour cela l’association a besoin de vous . Une simple adhésion de 10 euros, votre participation aux manifestions, voire proposer des projets.
1 Jour – Le vide grenier
1 Jour – De la pub
L’histoire ne se passe pas à Gourbit, mais en Colombie. Il s’agit de la nouvelle version de COMUNA 13. Disponible sur Amazon, à Gourbit, ou en me le demandant. Et je suis entrain d’écrire la suite.

Année 2020, Sébastien Rafeou, un ancien flic français ayant eu dans le passé des problèmes avec l’IGPN, est guide touristique en Colombie. Lors d’une visite dans le quartier de la Comuna 13 à Medellin, une vieille dame avec qui il avait fini par sympathiser, lui donne un mystérieux pendentif et lui demande de la rejoindre le lendemain. Elle souhaite lui parler du secret de Griselda Blanco, première narco-trafiquante assassinée en 2012. Le lendemain, en revenant la voir, il découvre son cadavre, affreusement mutilé !
Sébastien finit par faire expertiser le bijou donné ; celui-ci est pré-incaïque, et issu d’une tribu qui vivait près d’un lac, en Colombie, où la légende situerait l’Eldorado….
Lors de l’enterrement de la vieille dame, Sébastien fait la connaissance de sa petite-fille, une ancienne des FARCS reconvertie dans la politique. Ils décident de s’associer pour découvrir le secret de Griselda Blanco.
Seulement, ils ne sont pas les seuls à vouloir trouver le trésor de l’Eldorado…
1 Jour – 1 Chanson
Comme il pleut, comme Fabrice ma abandonné, je continue à faire joujou avec l’IA musicale. Les paroles sont de moi, mais pas la musique, ni le chanteur.
Comme Facebook m’a décojnecté faut pouvez faire circuler la chanson
Couplet 1 :
Au creux des montagnes, tout près des étoiles
Y’a un coin de paradis, loin de la capitale
C’est Gourbit qu’on appelle, avec ses airs tranquilles
Où l’étang d’Artax se reflète si fragile
Sur la place du village, quand l’été fait la fête
Les rires et les danses résonnent à tue-tête
Sous les platanes, on refait le monde
Avec cèpes et morilles et du vin qui l’inonde
Refrain :
I cal ana, on se retrouve ici
Entre ces pierres anciennes, ce bout d’Ariège joli
I cal ana, nos souvenirs reviennent
À Gourbit, mon village, c’est là que tout m’entraîne
Couplet 2 :
Les sentiers nous guident à travers les forêts
On ramasse les champignons, les paniers sont pleins à craquer
Le vent dans les sapins, chante une vieille chanson
Celle qu’on fredonnait, quand on était garçons
Et la fête sur la place fait vibrer les lampions
On danse sous les étoiles jusqu’à perdre la raison
C’est ici que nos cœurs se sentent à leur maison
Entre les cimes et l’eau, au son des accordéons
Refrain :
I cal ana, on se retrouve ici
Entre ces pierres anciennes, ce bout d’Ariège joli
I cal ana, nos souvenirs reviennent
À Gourbit, mon village, c’est là que tout m’entraîne
Pont :
Quand l’hiver se dessine sur les toits enneigés
On attend le printemps pour mieux recommencer
Les soirées près du feu, les histoires d’autrefois
Nous rappellent que Gourbit, c’est bien plus qu’un endroit
Refrain final :
I cal ana, on se retrouve ici
Entre ces pierres anciennes, ce bout d’Ariège joli
I cal ana, nos souvenirs reviennent
À Gourbit, mon village, c’est là que tout m’entraîne
Outro :
C’est là que tout m’entraîne…
À Gourbit, mon village…
C’est là que tout m’entraîne…
1 Jour – Nadau à Paris
Au Grand Rex, Joan de Nadau subjugue les Parisiens (et François Bayrou)
Publié le 28 février à 15h59, mis à jour le 28 février à 15h59
Au Grand Rex, Joan de Nadau subjugue les Parisiens (et François Bayrou)
NOUS Y ÉTIONS – Pendant deux heures au Grand Rex, le chanteur occitan a confirmé hier, 27 février, le renouveau du béarnais dans une ambiance extraordinaire.Passer la publicité
«Mon histoire ? C’est le contre-voyage du saumon. On m’a donné l’école républicaine, je suis remonté à la source. » Son béret gascon vissé sur la tête, Joan de Nadau nous reçoit quelques heures avant de remplir le Grand Rex. Michel Sardou avait fait «les deux écoles», Michel Maffrand – son nom d’origine – a pris «tous les lundis le car pour aller au lycée qui le sortait de son pays», mais il est resté un enfant de Cier-de-Luchon, son village des Pyrénées. En 2023, au Zénith de Pau, Nadau célébrait le cinquantenaire de son groupe inclassable, quelque part entre rock et tradition gasconne.
«Si ma carrière a duré aussi longtemps, c’est que je n’ai jamais été à la mode. Je ne pouvais pas être démodé !», plaisante-t-il avec l’humilité tranquille qui le caractérise. «On fait les arènes de Bayonne cet été, c’est plein depuis trois mois…», s’étonne-t-il encore. Ce soir, la capitale s’enflamme. Celle-là même qu’il disait être pour lui «l’outre-mer» à notre premier coup de fil. Dans la salle, une forêt de bérets occitans, de croix jaune et rouge, et un public qui connaît chaque parole par cœur.
L’amour du «pays»
Dans la voix chantante et pleine de pédagogie de cet ancien professeur, le Béarn est palpitant, vécu, charnel. Son «pays», c’est cette terre de montagnes, de ruisseaux sinueux et des trois hautes vallées pyrénéennes d’Ossau, Aspe et Barétous. Nadau est un conteur hors pair. Qu’importe que ses histoires ne se murmurent pas au coin d’un feu de bois ou dans un salon en pierre apparente, mais au milieu des fauteuils pourpres du Grand Rex. «Quand je parle d’un pays, ce n’est pas un pays avec des frontières. C’est l’endroit où on a été aimé, nous explique-t-il malicieusement. Ça peut être une cage d’escalier, une caravane qui s’en va sur la route, un chemin de terre ou une simple cabane.»
L’hymne «Aqueras Montanhas» est rapidement repris en chœur par le public. Et par François Bayrou, assis dans les premiers rangs. Annonçant sa candidature aux Présidentielles en 2006, le Premier ministre – actuel maire de Pau – n’avait-il pas entonné cet hymne du Béarn à la fin de son discours ? Le groupe enchaîne avec une dizaine de chansons traditionnelles. Avec «l’Immortèla», il raconte une dure montée pour aller cueillir un edelweiss, et pour aller «chercher le pays». «Patapim, patapam/ Non sèi d’on ei sortida on m’a pas briga espiat/ E m’èi pergut suu pic/ E la hami e la set» chante-t-il encore dans L’Encantada, désormais chant officiel de la course landaise, joué au Tournoi des Six nations.
Faut-il voir dans cette mise à l’honneur des particularismes régionaux la nostalgie d’un âge d’or, fait de fêtes de villages et de pastorale occitane ? Voilà qu’on s’y tromperait à nouveau. «La magie, c’est qu’on n’est ni dans le combat, ni dans le regret», confie une jeune participante du concert. «En sortant, on se dit simplement : pourquoi on n’a pas ça plus souvent ?» Avec Nadau, le paysage est à taille humaine, et on peut se l’approprier. «Quand il y a une injonction de renier là d’où on vient, vous ne pouvez pas être bien dans la vie.» Dès lors, peu importe la ville ou le village, le béton ou la terre. «Dans mon village, je pense le monde aussi bien qu’ici.» Et il vient avec «enthousiasme» à Paris où les rues ont le visage des «personnages imaginaires de ses lectures». Jules Vallès, Victor Hugo…
Transmission du béarnais
La multitude de voyelles en finale des mots donne au béarnais une douceur extraordinaire. Pourquoi sauver ce dialecte méridional ? «Un peu d’honneur, ça ne fait pas de mal», nous répond-il simplement. Longtemps, cette langue fut interdite, humiliée. Un jour, il va voir sa grand-mère lui expliquant qu’il veut réapprendre ce dialecte. «Ah non, il ne faut pas faire ça, ce n’est pas bien !» lui répond-elle. «C’était la langue de toute sa vie, mais on lui en avait fait en avoir honte. À la fin du XIXe siècle, tous les patois sont éradiqués à l’école. Vous imaginez toute la culpabilisation derrière, pour en arriver là ? On aurait dû réparer ce qu’il s’est passé.»
C’est grâce à Gilbert Narioo, ardent défenseur de la langue, décédé l’année dernière, qu’il apprend alors le béarnais. «C’est difficile de lutter contre l’éléphant médiatique, nous, on est des petites souris.» Les écoles bilingues Calandreta, nées à Pau en 1980, sont pourtant aujourd’hui 70 en France. Et ses petits-enfants parlent béarnais. «Je leur dis souvent qu’ils seront les plus riches du monde s’ils conservent cela. C’est d’une richesse incroyable.» Beaucoup témoignent de ce nouvel engouement pour les langues régionales. «Le vent tourne, c’est en train de revenir», se réjouit Maylis, venue au concert avec un drapeau corse. Et Nadau de s’étonner : «Avant c’étaient les plus vieux qui amenaient les jeunes. Désormais ce sont les jeunes qui amènent leurs grands-parents.»
Alors, il chante, encore et toujours, et ne se prend jamais au sérieux sur scène. Son humour est tendre, souvent impertinent. Une femme «gracieuse comme un hibou», un conseil municipal qui n’a rien à envier aux tragédies de Racine, le lâcher d’un ours dans un village de la région en 2008… tout y passe. Et la salle passe d’un silence quasi-religieux aux rires en un clin d’oeil. Nadau négocie auprès des musiciens une dernière chanson à coup d’une «prime de pénibilité» puis de «de litres de gasoil», avant d’arriver avec une pancarte «49.3». Le public hèle alors le Premier ministre. Qu’en pense-t-il ? On ne saura pas. La soirée s’achève à l’harmonica, sur un air de la vallée d’Aspe. Mais qui parle d’achever ? Le concert terminé, voilà que le public reprend à lui seul «Mon Dieu que je suis à mon aise, quand j’ai ma mie auprès de moi».