Archives de catégorie : Culture

Workshop studio FineArt

Pierrot Bacquey

Workshop studio FineArt

avec la Photographe Trinley Paris

Samedi 30 septembre

9h: Présentation

Journée consacrée à la prise de vue en studio avec différents modèles.

Repas de midi au Moulin de Gourbit non inclus dans le forfait

18h Fin de journée

Dimanche 1er Octobre

Traitement des photos sur lightroom et photoshop.

Il est demandé aux stagiaires une bonne maîtrise de ces deux logiciels pour ne pas ralentir le groupe.

Repas de midi non pris en charge au Moulin de Langoust

18H Fin du stage

Tarif 330 euros

Paiement à l’inscription

Contact Pierre Bacquey

HYPERLINK « mailto:pierrebacquey@gmail.com » pierrebacquey@gmail.com

tel 0630784667

Trinley Paris HYPERLINK « http://www.instagram.com/trinleyparisphoto » www.instagram.com/trinleyparisphoto

www.studio.trinley.paris

L’histoire d’une petite ourse lettone fait bouillir les élus ariégeois

https://www.ladepeche.fr/2023/06/26/lhistoire-dune-petite-ourse-lettone-fait-bouillir-les-elus-ariegeois-11302906.php

Jacques-Olivier Badia

Six élus ariégeois ont écrit le 22 juin à Christophe Béchu, le ministre de la Transition écologique, pour mettre une nouvelle fois en cause la politique française sur l’ours. En cause : l’histoire d’une petite ourse lettone qui défraye la chronique.

Daté du 22 juin dernier et adressé à Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des Territoires, le courrier est signé des trois parlementaires ariégeois, Martine Froger, Laurent Panifous et Jean-Jacques Michau, de Christine Téqui, présidente du conseil départemental, de Philippe Lacube, président de la chambre d’agriculture, et d’Alain Servat, président de la Fédération pastorale.

Et son sujet est une nouvelle fois l’ours. Une petite ourse lettone, pour être précis, dont les aventures ont brièvement défrayé la chronique il y a un mois, avant de faire l’objet d’une enquête de nos confrères du Point parue ce dimanche 25 juin.

La mystérieuse arrivée en France d’une petite ourse

Bref rappel des faits. Le zoo de Riga, en Lettonie, recueille le 5 avril 2023 une oursonne trouvée par des chasseurs, un animal que les autorités lettones, instruites par l’expérience, ne comptent pas tenter de sauver.

Mais le 25 mai dernier, Tanie (c’est son nom), atterrit à l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, dans des circonstances mystérieuses et sans les certificats habituellement exigés pour le transport d’animaux sauvages, avant de rejoindre un zoo-refuge d’Eure-et-Loir. Lequel lance quelques jours plus tard un appel pour que se manifeste un pays hôte où relâcher l’oursonne.

Et la cacophonie enfle, entretenue par le mutisme du ministère de la Transition écologique, qui se borne à affirmer que Tanie ne sera pas relâchée en France, sans jamais dire comment l’animal a pu finir en Eure-et-Loir.

Une « situation scandaleuse »

« Considérer cette situation comme navrante serait peu dire. Elle est à proprement parler scandaleuse, assènent les élus ariégeois dans leur courrier. Elle est clairement le résultat du sentiment de toute-puissance d’un haut fonctionnaire d’Etat, relevant du ministre de l’Ecologie, qui a manifestement usé de ses relations et de sa situation pour s’affranchir de ces règles […] ».

Et d’enfoncer le clou : « Ce dossier remet également en perspective les échanges ou les rencontres que nous avons eus ensemble sur ce dossier. Si nos contacts dans vos bureaux, à la fin de l’année passée (le 27 octobre 2022, NDLR), ont été constructifs […], nous sommes cependant obligés de constater que les actions n’ont toujours pas été, à ce jour, à la hauteur des intentions. Ce jugement serait renforcé si, un instant, il était envisagé que notre territoire accueille cet ourson lettonien (sic) dont l’arrivée en France est digne d’un mauvais scénario. »

« Si on paye pour la Lettonie, on peut payer pour le Couserans »

En marge d’une assemblée plénière consacrée aux comptes administratifs, Christine Téqui a exprimé plus clairement ses interrogations, le lundi 26 juin: « Si c’est arrivé, cela veut dire qu’il peut y en avoir eu plein d’autres avant, et face à une démographie galopante de l’ours, ça jette quand même le trouble. » Tandis qu’Alain Naudy pointait le fait que si le zoo-refuge « ne s’était pas un peu vanté de tout ça, on ne l’aurait jamais su. »

En d’autres termes, que personne n’ose vraiment exprimer : le nombre d’ours en Couserans ne serait-il pas lié à des réintroductions irrégulières, plutôt qu’au solde naturel de la population ursine en Ariège ?

Découvrez la flore ariégeoise

Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises

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Le week-end approche et on vous propose d’en profiter pour découvrir les Pyrénées Ariégeoises avec les Amis du Parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises : le samedi 24, rdv aux orris du Carla, à Auzat, pour participer à l’inventaire des édifices en pierre sèche avec Wikipedra et visiter l’atelier de transformation et la cave d’affinage. sur inscription au 05.61.02.71.69

Le dimanche 25, les plantes sont à l’honneur, soit pour admirer la flore de montagne à Gourbit, gratuit sur réservation au 06.32.88.58.74, soit pour apprendre comment les plantes peuvent nous aider, à Cazavet, sur réservation au 06.16.46.73.22